La lumière de l'écrivain

Les portraits de Florence Gruère ne sont pas nets !
Entendez par là qu'ils ne font pas partie de ce que l'on appelle communément de "bons protraits", posés, bien éclairés. Tirés selon la technique de la gomme bichromatée, les personnages semblent se diluer.
A moins, qu'ils n'apparaissent lentement à la surface du papier à dessin sur lequel ils sont développés.
Les portraits de Florence Gruère ne sont pas nets, ils sont possédés !
Frédérique Chapuis